Informations espèce

Ce papillon commun fréquente les zones rocailleuses chaudes où le gris de ses ailes fermées le rend invisible. Ses ailes ouvertes dévoilent un bel orangé avec des ocelles et une bande sombre très nette chez le mâle, le satyre. C'est sur les graminées que la femelle, la mégère, dépose ses œufs. Source : Parc national des Ecrins
Mégère et satyre, respectivement femelle et mâle de la même espèce, doivent ces noms peu élogieux à la surprise qu'ils déclenchent quand ils deviennent tout à coup visibles en ouvrant les ailes, à leur comportement farouche et à leur vol saccadé. Source : Parc national des Ecrins
Bâtis | Bords de chemins, de routes et de voies ferrées | Clapiers d'épierrement | Eboulis | Falaises de basse et moyenne altitudes | Forêts d'adret | Fossés et canaux | Fourrés de saules et d'aulnes | Friches et broussailles | Haies et talus | Landes montagnardes et subalpines | Lisières et clairières | Mélèzins | Parcs et jardins | Pelouses sèches montagnardes | Prairies de fauche | Prairies humides, mégaphorbiaies et roselières | Reposoirs des troupeaux domestiques | Ripisylves | Vergers et vignes
Subcosmopolite
Dira megera (Linnaeus, 1767) | Lasiommata maegera (Linnaeus, 1758) | Lasiommata megera megera (Linnaeus, 1767) | Lasiommata megera vividior (Verity, 1923) | Papilio maera sensu Geoffroy in Fourcroy, 1785 non Linnaeus, 1758 | Papilio megera Linnaeus, 1767 | Pararge megaera (Linnaeus, 1767) | Pararge megera (Linnaeus, 1767) | Pararge megera vividior Verity, 1923 | Satyrus maegera (Linnaeus, 1767) | Satyrus megaera (Linnaeus, 1767)

Observations par classes d'altitudes

Observations mensuelles